Le syndicat des entreprises françaises des viandes
Le reste, que l’on regroupe sous le vocable de « co-produits animaux », n’est pas à considérer comme un rebus : parmi ces co-produits se trouvent des produits excellents à la consommation (les produits tripiers par exemple) et d’autres sont à valoriser dans d’autres filières.
Concernant spécifiquement les sous-produits animaux, la collecte, les traitements et les voies de valorisation de ces sous-produits non destinés à la consommation humaine sont encadrés par une réglementation européenne, strictement appliquée et contrôlée dans les entreprises du secteur viande.
C’est ainsi que pour la filière des animaux de boucherie, près d’un million de tonnes de sous-produits animaux peuvent emprunter en toute sécurité les filières de valorisation technique telles que le pet food (aliments pour animaux de compagnie), l’oléochimie ou la fabrication de fertilisants.
De plus, les peaux sont valorisées par l’industrie du cuir et d’autant mieux lorsque l’attention est portée par les éleveurs sur le bien-être de leurs animaux (traitement antiparasitaire, parcours des animaux, exempt d’éléments pouvant blesser, litière paillée, …).
Les premiers résultats permettent de dresser une photographie de la consommation en eau et en électricité de nos établissements, et, compilés à d’autres sources de données, permettent de proposer à nos adhérents des mesures visant à traquer les postes de travail où des économies peuvent être réalisées.
Le reste, que l’on regroupe sous le vocable de « co-produits animaux », n’est pas à considérer comme un rebus : parmi ces co-produits se trouvent des produits excellents à la consommation (les produits tripiers par exemple) et d’autres sont à valoriser dans d’autres filières.
Concernant spécifiquement les sous-produits animaux, la collecte, les traitements et les voies de valorisation de ces sous-produits non destinés à la consommation humaine sont encadrés par une réglementation européenne, strictement appliquée et contrôlée dans les entreprises du secteur viande.
C’est ainsi que pour la filière des animaux de boucherie, près d’un million de tonnes de sous-produits animaux peuvent emprunter en toute sécurité les filières de valorisation technique telles que le pet food (aliments pour animaux de compagnie), l’oléochimie ou la fabrication de fertilisants.
De plus, les peaux sont valorisées par l’industrie du cuir et d’autant mieux lorsque l’attention est portée par les éleveurs sur le bien-être de leurs animaux (traitement antiparasitaire, parcours des animaux, exempt d’éléments pouvant blesser, litière paillée, …).
Les fumiers et le lisier récupérés en abattoirs, comme les déchets récupérés du traitement des eaux usées ainsi que les boues des stations d’épuration, sont généralement recyclés en amendements organiques soit sous forme d’épandage direct, conformément à la législation en vigueur émanant du Ministère de l’écologie, soit de plus en plus sous forme de compost ou par méthanisation en mélange avec d’autres matières organiques. Cette dernière voie permet à la fois de produire un amendement organique à haute valeur agronomique ainsi que de l’énergie sous forme de biogaz.
Le process industriel de notre secteur génère des déchets qui, lorsqu’ils ne sont pas envoyés en incinération, sont pour la plupart acheminés vers des filières de recyclages (papiers, carton, ferrailles, palettes en bois). Quant aux déchets dangereux (tubes néon, huile de maintenance usagée par exemple) ils sont soit détruits, soit récupérés par des sociétés spécialisées. Responsables des déchets qu’elles génèrent jusqu’au détenteur final, les entreprises assurent le suivi des circuits de leur élimination.
Ainsi les entreprises maîtrisent les gisements et les filières de gestion de leurs déchets et s’orientent vers l’optimisation de leur valorisation.
Les 150 établissements exploités par les adhérents du SNIV-SNCP sont situés au plus près des zones d’élevage de chaque espèce.
Cette répartition, sur l’ensemble du territoire, permet de limiter les transports des animaux, dans un souci de protection animale, d’optimisation du coût énergétique du transport en vif, mais également de maintien de l’emploi sur tout le territoire, en assurant ainsi sa pleine participation à l’aménagement du territoire.