Le syndicat des entreprises françaises des viandes
A l’aide d’une citation à l’emporte-pièce en « Une », le journal Libération de ce 17 mai, vise à montrer les abattoirs sous le jour d’une scénographie de la « barbarie ». Se faisant le porte-voix des thèses anti-viandes, une certaine presse évite parfois de traiter de l’essentiel. Passer la vraie vie par pertes et profits sous prétexte d’audience devrait finir par se retourner contre les faux sachant […].
Paris, le 18 mai 2016
A l’aide d’une citation à l’emporte-pièce en « Une », le journal Libération de ce 17 mai, vise à montrer les abattoirs sous le jour d’une scénographie de la « barbarie ». Se faisant le porte-voix des thèses anti-viandes, une certaine presse évite parfois de traiter de l’essentiel. Passer la vraie vie par pertes et profits sous prétexte d’audience devrait finir par se retourner contre les faux sachant.
A la lecture du journal Libération, tout se passe comme-ci le « dire d’expert » faisait loi. Dans un autre monde, le militantisme welfariste pourra s’envisager autrement qu’en alignant des faussetés et en répandant la terreur. 55 000 professionnels des entreprises des viandes en France ont relevé d’innombrables approximations dans cet article. Culture Viande en partage ici quatre :
Les visites à l’improviste que la commission d’enquête parlementaire sur les conditions d’abattage des animaux de boucherie a réalisé ces 9 et 17 mai dans des abattoirs n’ont démontré aucune anomalie. Ainsi à l’occasion de la visite d’un abattoir dans le nord de la France ce 9 mai, le Président de la commission déclarait :
– à la bouverie où sont accueillis les animaux « c’est le silence qui règne ici. Le signe que les animaux ne sont pas stressés » ;
– devant l’opérateur en charge de l’étourdissement des animaux : « là, en l’occurrence, il n’y a pas de souffrance : ici, c’est incontestable ».
Ces visites démontrent en définitive que les dires d’experts autoproclamés ne résistent pas à la réalité des faits.
Les actes condamnables diffusés dans certaines vidéos ne sont en rien une généralité dans les abattoirs français.
Vouloir faire croire à cette généralisation relève du militantisme anti viande, pas du bien-être animal.
Contact : François Cassignol – fcassignol@cultureviande.fr – Tél. : 01 53 02 40 04 – 06 83 90 67 05
Culture Viande regroupe les entreprises françaises, du secteur de la viande bovine, ovine et porcine. Il exerce la mission de représentant et de porte-parole de ces industries et intervient comme force de propositions. Les chiffres clés de Culture Viande : 70 adhérents, 150 établissements industriels 35.000 salariés •10,5 milliards d’euros de CA • 2,8 millions de tonnes de viande bovine, porcine et ovine, 87% des abattages français de porcs, 64 % des abattages français de gros bovins, 80 % de la production nationale de viande hachée, 93 % des exportations françaises de viande bovine et porcine fraîches et congelées.